Escape. 116 x 89 cm

€2,600.00

Acrylic on canvas, 116 × 89 cm

In Escape, Véronique Cauchefer presents a house that breathes with color and secret life. A male figure, outlined in clean blue lines, stands in the garden as a female lover makes her daring exit through an upstairs window. The scene is at once playful and tense—an intimate drama unfolding in bright daylight.

The façade of the house is alive with stripes, textures, and embedded images: a smaller painting within the painting shows another figure at a desk, suggesting memory, reflection, or perhaps a parallel narrative. The window becomes a threshold of departure, the blue curtains parting as the woman slips away in her red dress. Around them, stylized trees, patterned walls, and a pool of water create a dreamlike stage, where every element seems conscious and participating.

With its bold geometry, saturated palette, and layered storytelling, Escape captures both the joy and ache of transition: the moment when presence becomes absence, and a private world rearranges itself.

Dans Escape, Véronique Cauchefer présente une maison qui respire, animée de couleurs et de secrets. Une silhouette masculine, dessinée de lignes bleues nettes, se tient dans le jardin tandis qu’une amante s’échappe par une fenêtre à l’étage. La scène est à la fois joueuse et tendue—un drame intime qui se déploie en pleine lumière.

La façade de la maison s’anime de rayures, de textures et d’images enchâssées : un tableau dans le tableau montre une autre figure à son bureau, suggérant un souvenir, une réflexion ou peut-être un récit parallèle. La fenêtre devient un seuil de départ, les rideaux bleus s’ouvrant alors que la femme en robe rouge se glisse dehors. Autour d’eux, arbres stylisés, murs colorés et bassin d’eau composent une scène onirique, où chaque élément semble conscient et participant.

Avec sa géométrie affirmée, sa palette saturée et sa narration en strates, Escape saisit à la fois la joie et la douleur de la transition : l’instant où la présence devient absence, et où un monde intime se réorganise.

Acrylic on canvas, 116 × 89 cm

In Escape, Véronique Cauchefer presents a house that breathes with color and secret life. A male figure, outlined in clean blue lines, stands in the garden as a female lover makes her daring exit through an upstairs window. The scene is at once playful and tense—an intimate drama unfolding in bright daylight.

The façade of the house is alive with stripes, textures, and embedded images: a smaller painting within the painting shows another figure at a desk, suggesting memory, reflection, or perhaps a parallel narrative. The window becomes a threshold of departure, the blue curtains parting as the woman slips away in her red dress. Around them, stylized trees, patterned walls, and a pool of water create a dreamlike stage, where every element seems conscious and participating.

With its bold geometry, saturated palette, and layered storytelling, Escape captures both the joy and ache of transition: the moment when presence becomes absence, and a private world rearranges itself.

Dans Escape, Véronique Cauchefer présente une maison qui respire, animée de couleurs et de secrets. Une silhouette masculine, dessinée de lignes bleues nettes, se tient dans le jardin tandis qu’une amante s’échappe par une fenêtre à l’étage. La scène est à la fois joueuse et tendue—un drame intime qui se déploie en pleine lumière.

La façade de la maison s’anime de rayures, de textures et d’images enchâssées : un tableau dans le tableau montre une autre figure à son bureau, suggérant un souvenir, une réflexion ou peut-être un récit parallèle. La fenêtre devient un seuil de départ, les rideaux bleus s’ouvrant alors que la femme en robe rouge se glisse dehors. Autour d’eux, arbres stylisés, murs colorés et bassin d’eau composent une scène onirique, où chaque élément semble conscient et participant.

Avec sa géométrie affirmée, sa palette saturée et sa narration en strates, Escape saisit à la fois la joie et la douleur de la transition : l’instant où la présence devient absence, et où un monde intime se réorganise.